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Maigret et les témoins récalcitrants

Le résumé :
Ce roman policier « Maigret et les témoins récalcitrants » de Georges Simenon, qui joue à Paris, commence avec l’interrogatoire d’un cambrioleur professionnel que la police cherchait depuis des années. Pendant la conversation, Maigret et lui parlent de ses délits, le téléphone sonne. Le prochain cas de meurtre s’annonce pour le commissaire. C’est Léonard Lachaume, qu’on a trouvé fusillé dans son lit de la maison familiale des Lachaumes qui dirigent la grande Biscuiterie fameuse, qui s’appelle également Lachaume. De prime abord tout ressemble à un cambriolage avec un accident mortel… En recherchant, Maigret n’apprend pas beaucoup sur les relations de la famille et encore moins sur le meurtre de Léonard, bien que six personnes se trouvent en même temps dans la maison ou il était assassiné. De toute façon l’atmosphère chez les Lachaumes est bizarre, plutôt ancienne et sombre. En fait quand un drame comme celui-ci se produit, on trouve tout le monde pleurant près du corps, mais dans ce cas-là personne ne montre des émotions. Comme si ce fait ne serait pas assez grave, les six personnes, c’est-à-dire les deux vieux Lachaumes, la servante Catherine, le fils du mort Jean-Paul, et puis le frère Armand Lachaume et sa femme Paulette Lachaume, n’ont rien vu ni rien entendu. Mais Maigret reste sceptique et interroge les personnes une par une, même si cela prend beaucoup de temps. Des enquêtes résultent que le cambriolage est juste une simulation. Avec sa persistance le commissaire découvre que la Biscuiterie devait déjà être en faillite, mais comme Armand Lachaume a marié une femme, qui a assez d’argent pour alimenter la Biscuiterie, cela vit encore. Plus tard, Maigret révèle qu’un autre membre de la famille existe encore mais que ce membre, Véronique Lachaume, s’est distancé de sa famille il y a dix-huit ans de cela. Elle raconte toute sa vie et Maigret remarque vite qu’elle est l’opposé du reste de la famille car elle travaille dans un bar comme servante et en plus elle est très ouverte. Quand le commissaire part, il voit une Pontiac bleue, la même qui était garé avant la maison des Lachaumes à l’heure du crime. Maigret rassemble les pièces du puzzle et interroge le copain de Véronique qui est le propriétaire de la voiture et qui admit qu’il avait une liaison avec Paulette Lachaume. Plus tard, Maigret découvre que Paulette voulait divorcer d’Armand c’est-à-dire l’argent d’elle qui laisse la biscuiterie survivre, se sépare aussi… Léonard, lui, veut garder à tout prix la biscuiterie et c’est la raison pour laquelle il doit mourir, parce qu’il menaçait Paulette énormément. Après tout Léonard voulait tuer Paulette dans la nuit du meurtre pour assurer son héritage, mais comme elle s’est doutée d’une attaque de Léonard elle a pressé la gâchette d’un revolver, donc elle l’a tué en légitime défense.

Ma recommandation :
A mon avis ce livre se lit facilement ne le vocabulaire ni le sens sont trop difficile à comprendre. Ce que j’aime bien c’est que l'imagination de l'auteur nous plonge dans un monde réel parce que je préfère personnellement des livres non-fictive. Mais l'histoire en elle-même manque quelque chose qui retient l'attention du lecteur. Je trouve qu'il y a particulièrement un manque d'approfondissement dans l'intrigue ce qui rend le dénouement presque prévisible. En plus les personnages du roman sont mal travaillés sauf le personnage principal c'est-à-dire Maigret qui possède un caractère fort et intéressant. Je suivis l'intrigue jusqu'au bout mais je trouve que la fin de cette histoire nous laisse sur notre faim...Ce livre me donne un avis sur Simenon, c'est que je n'achèterai pas ses autres oeuvres car je trouve que sa façon de raconter une histoire est trop simple et le manque d'approfondissement de l'histoire me gêne beaucoup...J'ai déjà lu des romans policiers plus captivant et plus intéressant que celui-la, mais cette histoire manque juste un petit truc qui fait tenir le lecteur en haleine.

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