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Korrektur meines Franze-Aufsatz

Frage: Korrektur meines Franze-Aufsatz
(3 Antworten)

 
Hei ho,
ich muss in Franze eine Buchbesprechung schreiben,will sie vor Abgabe noch einmal korrigiert haben und somit poste ich jetzt einfach mal den Text :)

La caractérisation personnelle de Monsieur Ibrahim
« L’Islam, c’est la paix », affirment les participants d’une manifestation à Cologne, en Allemagne.
Une vérité utile à rappeler dans un monde où la plupart des actions terroristes sont commises au nom de ce même islam de paix...
Les musulmans sont de plus en plus victimes de propos racistes et de préjugés. Aujourd’hui, on associe les musulmans avec le mot "fondamentalisme". Un synonyme qui parle de la violence, du terrorisme, du danger et de la menace.
Dans le livre « Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran », Éric-Emmanuel Schmitt raconte l’histoire d’un jeune garçon nommé Momo rencontrant le musulman Monsieur Ibrahim. Un musulman qui n’est pas radical, borné ou intolérant. Un musulman qui n’exagére pas la pratique réligieuse. Avec Moniseur Ibrahim, l’auteur a créé un contraste avec l’image pleine de haine que la plupart des personnes/gens lient avec un musulman:
Monsieur Ibrahim vivant dans la rue Bleue à Paris depuis 40 ans, vient du «Croissant d´Or ». Il est marié, mais plus tard on apprend que sa femme est morte depuis longtemps. Les gens le connaissent comme « l´arabe de la coin» (p. 9, l.5) parce qu´il travaille presque toujours dans sa petite épicerie. Il est un partisan du soufisme, une forme spéciale de l´Islam.
On a l´impression que M. Ibrahim sait et voit toujours tout (p.ex. que Momo lui vole, cf. p.10, l.2, ou que Momo va chez les putes, cf. p.28, l.6) avec beaucoup de connaissance des hommes et ses yeux rigolant. C’est pourquoi les deux, M. Ibrahim et Momo, deviennent des amis: Le Musulman entend Momo penser.
Cela ne dure pas longtemps jusqu`à ce que M. Ibrahim soit le plus important, le personnage central dans la vie de Momo. Il est comme un pont entre Momo et le monde des adultes (cf. p.16, l.11-14), conseiller et professeur en même temps. M. Ibrahim essaie de montrer la beauté du monde, la route du bonheur et le sens de la bonne vie à son petit copain. Il l’assure par exemple que sourire rend heureux et que ce n`est pas seulement pour les gens riches, comme Momo le pense (cf. p.22) ou que « la beauté, elle est partout. » (p.41, l.11). Il lui donne aussi des conseils en ce qui concerne le contact avec d’autres gens, comme: « Ce que tu donnes, Momo, c`est à toi pour toujours, ce que tu gardes, c`est perdu à jamais! »
(p.42, l.2-4)
Parfois ses principes semblent presque un peu drôles, p.ex. son théorie sur les
chaussures (p.36) ou sa définition du luxe: « [...],rien dans la vitrine, rien dans le magasin, tout dans le prix. » (p.30, l.14-15)...
Momo peut lui parler de tout ce qui l’occupe: son frère Popol, Myriam qui ne s’interesse plus à lui et les réligions différentes.
Monsieur Ibrahim soi-même veut convaincre Momo de l’importance de croire à quelque chose. Il montre les belles choses du coran à son jeune ami en faisant une interprétation libre et individuelle de ce livre. A la page 40, il dit que si on veut apprendre quelque chose, on n’a pas besoin pas un livre... A mon avis cela monte que le coran n’est pas vraiment important pour lui. A la fin, quand Momo découvre les fleurs séchées dans le coran de M. Ibrahim, on apprend que la phrase « Je sais ce qu’il y a dans mon coran.» (prémier fois: p.28, l.12-13)a un sens ambigu. Les fleurs remplacent peut-être la beauté de la vie et pour Monsieur Ibrahim elles sont plus importantes que le texte du coran. Alors, il vit d’après sa propre réligion, d’après ses principes, comme être calme ou sourire beaucoup. Il a trouvé la beauté depuis longtemps, son dernier but est alors rendre le petit heureux.
M. Ibrahim lui transmet le sentiment d´être aimé malgré ses faiblesses qui ne sont qu´humaines. Il essaie d´aider son petit ami le plus que possible (p.ex. quand il va reconnaître le corps du père de Momo), finalement il lui donne l´amour d´un père. Ne pas seulement mentale, mais aussi officielle: tous les problèmes avec « le monde officiel » (p.54, l.16) ne peuvent pas décourager M. Ibrahim et il devient le père de Momo.
Pendant le voyage suivant l’adoption, le père transmet beaucoup de maximes de sagesses à son fils: ils évitent les autoroutes, car d’après M. Ibrahim le secret du bonheur, c’est la lenteur (cf. p.61, l.21). Il fait des reflexions sur les poubelles et les met en rapport avec le niveau économique du pays (cf. p.60, l.14-22). Momo conduisant par la Suisse, l’Albanie et la Grèce, M. Ibrahim lui détaille le paysage, très imagé et avec beaucoup d’humour (cf. p.60, l.1-10). Un des plusieurs apogées du voyage est la danse au tekké. M. Ibrahim l’aime, car il peut entrer en contact avec Dieu et en même temps libérer son coeur (cf. p. 64, l.4-8).
Finalement, M. Ibrahim donne une dernière leçon à Momo: Après un accident de voiture il lui montre l’entrevue décontractée avec la mort. En général, la mort signifie la solitude et la peine... Mais M. Ibrahim détrompe son petit fils: il souligne qu’il n’a pas peur et qu’il croit même dans cette situation extrême à son coran (et cela, qui est là-dedans...) (cf. p.69, l.20-21). Il affirme qu’il a eu une vie heureuse (cf. p.70, l.1-7) et c’est pourquoi il peut mourir content.
On discuterait si M. Ibrahim projette l’accident...J`en suis sûr, car il a émancipé Momo, il a tout prévu (cf. p.72, l.18)...
Pour moi, sa mort monte qu’il n`utilise pas de lire seulement des formules... il les croit vraiment!
Et c´est ce qui le rend crédible.

Danke schonmal im Vorraus
GAST stellte diese Frage am 07.11.2009 - 21:39


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Antwort von johrann (ehem. Mitglied) | 09.11.2009 - 13:53
La caractérisation personnelle de Monsieur Ibrahim
« L’Islam, c’est la paix », affirment les participants d’une manifestation à Cologne, en Allemagne.
Une vérité utile à rappeler dans un monde où la plupart des actions terroristes sont commises au nom de ce même islam de paix...
Les musulmans sont de plus en plus victimes de propos racistes et de préjugés. Aujourd’hui, on associe les musulmans avec le mot "fondamentalisme". Un synonyme qui parle de la violence, du terrorisme, du danger et de la menace.
Dans le livre « Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran », Éric-Emmanuel Schmitt raconte l’histoire d’un jeune garçon nommé Momo rencontrant le musulman Monsieur Ibrahim. Un musulman qui n’est pas radical, borné ou intolérant. Un musulman qui n’exagére pas la pratique réligieuse. Avec Moniseur Ibrahim, l’auteur a créé un contraste avec l’image pleine de haine que la plupart des personnes/gens lient avec un musulman:
Monsieur Ibrahim vivant dans la rue Bleue à Paris depuis 40 ans, vient du «Croissant d´Or ». Il est marié, mais plus tard on apprend que sa femme est morte depuis longtemps. Les gens le connaissent comme « l´arabe de la coin» (p. 9, l.5) parce qu´il travaille presque toujours dans sa petite épicerie. Il est un partisan du soufisme, une forme spéciale de l´Islam.
On a l´impression que M. Ibrahim sait et voit toujours tout (p.ex. que Momo lui vole, cf. p.10, l.2, ou que Momo va chez les putes, cf. p.28, l.6) avec beaucoup de connaissance des hommes et ses yeux rigolant. C’est pourquoi les deux, M. Ibrahim et Momo, deviennent des amis: Le Musulman entend Momo penser.
Cela ne dure pas longtemps jusqu`à ce que M. Ibrahim soit le plus important, le personnage central dans la vie de Momo. Il est comme un pont entre Momo et le monde des adultes (cf. p.16, l.11-14), conseiller et professeur en même temps. M. Ibrahim essaie de montrer la beauté du monde, la route du bonheur et le sens de la bonne vie à son petit copain. Il l’assure par exemple que sourire rend heureux et que ce n`est pas seulement pour les gens riches, comme Momo le pense (cf. p.22) ou que « la beauté, elle est partout. » (p.41, l.11). Il lui donne aussi des conseils en ce qui concerne le contact avec d’autres gens, comme: « Ce que tu donnes, Momo, c`est à toi pour toujours, ce que tu gardes, c`est perdu à jamais! »
(p.42, l.2-4)
Parfois ses principes semblent presque un peu drôles, p.ex. son théorie sur les
chaussures (p.36) ou sa définition du luxe: « [...],rien dans la vitrine, rien dans le magasin, tout dans le prix. » (p.30, l.14-15)...
Momo peut lui parler de tout ce qui l’occupe: son frère Popol, Myriam qui ne s’interesse plus à lui et les réligions différentes.
Monsieur Ibrahim soi-même veut convaincre Momo de l’importance de croire à quelque chose. Il montre les belles choses du coran à son jeune ami en faisant une interprétation libre et individuelle de ce livre. A la page 40, il dit que si on veut apprendre quelque chose, on n’a pas besoin pas un livre... A mon avis cela monte que le coran n’est pas vraiment important pour lui. A la fin, quand Momo découvre les fleurs séchées dans le coran de M. Ibrahim, on apprend que la phrase « Je sais ce qu’il y a dans mon coran.» (prémier fois: p.28, l.12-13)a un sens ambigu. Les fleurs remplacent peut-être la beauté de la vie et pour Monsieur Ibrahim elles sont plus importantes que le texte du coran. Alors, il vit d’après sa propre réligion, d’après ses principes, comme être calme ou sourire beaucoup. Il a trouvé la beauté depuis longtemps, son dernier but est alors rendre le petit heureux.
M. Ibrahim lui transmet le sentiment d´être aimé malgré ses faiblesses qui ne sont qu´humaines. Il essaie d´aider son petit ami le plus que possible (p.ex. quand il va reconnaître le corps du père de Momo), finalement il lui donne l´amour d´un père. Ne pas seulement mentale, mais aussi officielle: tous les problèmes avec « le monde officiel » (p.54, l.16) ne peuvent pas décourager M. Ibrahim et il devient le père de Momo.
Pendant le voyage suivant l’adoption, le père transmet beaucoup de maximes de sagesses à son fils: ils évitent les autoroutes, car d’après M. Ibrahim le secret du bonheur, c’est la lenteur (cf. p.61, l.21). Il fait des reflexions sur les poubelles et les met en rapport avec le niveau économique du pays (cf. p.60, l.14-22). Momo conduisant par la Suisse, l’Albanie et la Grèce, M. Ibrahim lui détaille le paysage, très imagé et avec beaucoup d’humour (cf. p.60, l.1-10). Un des plusieurs apogées du voyage est la danse au tekké. M. Ibrahim l’aime, car il peut entrer en contact avec Dieu et en même temps libérer son coeur (cf. p. 64, l.4-8).
Finalement, M. Ibrahim donne une dernière leçon à Momo: Après un accident de voiture il lui montre l’entrevue décontractée avec la mort. En général, la mort signifie la solitude et la peine... Mais M. Ibrahim détrompe son petit fils: il souligne qu’il n’a pas peur et qu’il croit même dans cette situation extrême à son coran (et cela, qui est là-dedans...) (cf. p.69, l.20-21). Il affirme qu’il a eu une vie heureuse (cf. p.70, l.1-7) et c’est pourquoi il peut mourir content.
On discuterait si M. Ibrahim projette l’accident...J`en suis sûr, car il a émancipé Momo, il a tout prévu (cf. p.72, l.18)...
Pour moi, sa mort monte qu’il n`utilise pas de lire seulement des formules... il les croit vraiment!
Et c´est ce qui le rend crédible


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Antwort von johrann (ehem. Mitglied) | 09.11.2009 - 15:13
SCH.......! Ich habe gerade gesehen, dass ich die falsche Textfassung abgedruckt habe. Die ganzen Korrekturen sind gar nicht übernommen worden.
Ich muss jetzt erstmal weg, melde dich bitte, wenn du die Arbeit noch nicht abgegeben hast. Du warst nämlich ziemlich gut, und dann überarbeie ich sie noch mal.


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Antwort von johrann (ehem. Mitglied) | 11.11.2009 - 08:14
La caractérisation personnelle de Monsieur Ibrahim
« L’Islam, c’est la paix », affirment les participants d’une manifestation à Cologne, en Allemagne. Une vérité utile à rappeler dans un monde où la plupart des actions terroristes sont commises au nom de ce même islam de paix...
Les musulmans sont de plus en plus victimes de propos racistes et de préjugés. Aujourd’hui, on associe les musulmans avec le mot "fondamentalisme". Un synonyme qui parle de la violence, du terrorisme, du danger et de la menace.
Dans le livre « Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran », Éric-Emmanuel Schmitt raconte l’histoire d’un jeune garçon nommé Momo rencontrant le musulman Monsieur Ibrahim. Un musulman qui n’est pas radical, borné ou intolérant. Un musulman qui n’exagére pas la pratique réligieuse. Avec Moniseur Ibrahim, l’auteur a créé un contraste avec l’image pleine de haine que la plupart des personnes/gens lient avec un musulman:
Monsieur Ibrahim vivant dans la rue Bleue à Paris depuis 40 ans, vient du «Croissant d´Or ». Il est marié, mais plus tard on apprend que sa femme est morte depuis longtemps. Les gens le connaissent comme « l´arabe de la coin» (p. 9, l.5) parce qu´il travaille presque toujours dans sa petite épicerie. Il est un partisan du soufisme, une forme spéciale de l´Islam.
On a l´impression que M. Ibrahim sait et voit toujours tout (p.ex. que Momo lui vole, cf. p.10, l.2, ou que Momo va chez les putes, cf. p.28, l.6) avec beaucoup de connaissance des hommes et ses yeux rigolant. C’est pourquoi les deux, M. Ibrahim et Momo, deviennent des amis: Le Musulman entend Momo penser.
Cela ne dure pas longtemps jusqu`à ce que M. Ibrahim soit le plus important, LA PERSONNE centralE dans la vie de Momo. Il est comme un pont entre Momo et le monde des adultes (cf. p.16, l.11-14), conseiller et professeur en même temps. M. Ibrahim essaie de montrer la beauté du monde, la route du bonheur et le sens de la bonne vie à son petit copain. Il l’assure par exemple que sourire rend heureux et que ce n`est pas seulement pour les gens riches, comme Momo le pense (cf. p.22) ou que « la beauté, elle est partout. » (p.41, l.11). Il lui donne aussi des conseils en ce qui concerne le contact avec d’autres gens, comme: « Ce que tu donnes, Momo, c`est à toi pour toujours, ce que tu gardes, c`est perdu à jamais! »
(p.42, l.2-4)
Parfois ses principes semblent presque un peu drôles, p.ex. SA théorie sur les
chaussures (p.36) ou sa définition du luxe: « [...],rien dans la vitrine, rien dans le magasin, tout dans le prix. » (p.30, l.14-15)...
Momo peut lui parler de tout ce qui l’occupe: son frère Popol, Myriam qui ne s’interesse plus à lui et les réligions différentes.
Monsieur Ibrahim soi-même veut convaincre Momo de l’importance de croire à quelque chose. Il montre les belles choses du coran à son jeune ami en faisant une interprétation libre et individuelle de ce livre. A la page 40, il dit que si on veut apprendre quelque chose, on n’a pas besoin pas DE livreS... A mon avis cela montRe que le coran n’est pas vraiment important pour lui. A la fin, quand Momo découvre les fleurs séchées dans le coran de M. Ibrahim, on apprend que la phrase « Je sais ce qu’il y a dans mon coran.» (prémier fois: p.28, l.12-13)a un sens ambigu. Les fleurs remplacent peut-être la beauté de la vie et pour Monsieur Ibrahim elles sont plus importantes que le texte du coran. Alors, il vit d’après sa propre réligion, d’après ses principes, comme être calme ou sourire beaucoup. Il a trouvé la beauté depuis longtemps, son dernier but est alors rendre le petit heureux.
M. Ibrahim lui transmet le sentiment d´être aimé malgré ses faiblesses qui ne sont qu´humaines. Il essaie d´aider son petit ami le plus que possible (p.ex. quand il va reconnaître le corps du père de Momo), finalement il lui donne l´amour d´un père. NON seulement mentaleMENT, mais aussi officielleMENT: tous les problèmes avec « le monde officiel » (p.54, l.16) ne peuvent pas décourager M. Ibrahim et il devient le père de Momo.
Pendant le voyage suivant l’adoption, le père transmet beaucoup de maximes de sagesses à son fils: ils évitent les autoroutes, car d’après M. Ibrahim le secret du bonheur, c’est la lenteur (cf. p.61, l.21). Il fait des reflexions sur les poubelles et les met en rapport avec le niveau économique du pays (cf. p.60, l.14-22). Momo conduisant par la Suisse, l’Albanie et la Grèce, M. Ibrahim lui détaille le paysage, très imagé et avec beaucoup d’humour (cf. p.60, l.1-10). Un des plusieurs apogées du voyage est la danse au tekké. M. Ibrahim l’aime, car il peut entrer en contact avec Dieu et en même temps libérer son coeur (cf. p. 64, l.4-8).
Finalement, M. Ibrahim donne une dernière leçon à Momo: Après un accident de voiture il lui montre l’entrevue décontractée avec la mort. En général, la mort signifie la solitude et la peine... Mais M. Ibrahim détrompe son petit fils: il souligne qu’il n’a pas peur et qu’il croit même dans cette situation extrême à son coran (et cela, qui est là-dedans...) (cf. p.69, l.20-21). Il affirme qu’il a eu une vie heureuse (cf. p.70, l.1-7) et c’est pourquoi il peut mourir EN ÉTANT content.
On discuterait si M. Ibrahim projette l’accident...J`en suis sûr, car il a émancipé Momo, il a tout prévu (cf. p.72, l.18)...
Pour moi, sa mort montRe qu’il NE SUFFIT pas de lire seulement des formules... il les croit vraiment!
Et c´est ce qui le rend crédible.

Der Text ist dir ausgezeichnet gelungen. Félicitations.

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