La Révolution Industrielle et les crises économiques
La Révolution Industrielle et les crises économiques
Déjà avant les grandes Révolutions Industrielles les gens étaient confrontés face aux changements plutôt sociologiques. Après le moyen âge l’homme et la société faisaient une métamorphose – il n’y avait plus dieu qui était au centre du pensé, non, dés maintenant c’était l’homme soi-même qui doit récapituler sa nouvelle situation sur la terre.
L’exploration de l’Amérique et autres continents était suivie par la colonisation de ces régions ; les colonisateurs sont devenus plus en plus puissantes, on a mis en place des bourses pour financer ces activités coûteuses, c’étaient notamment l’Angleterre, Portugal et l’Espagne qui imposaient leur volonté.
Après une courte période de démocratie pendant le temps grecque qui ne durée pas longtemps, au fin du 17ème siècle l’Angleterre - où on a établit un parlement partiel - faisait son premier pas vers la démocratie avec sa révolution politique, les hommes étaient prêts pour une ère qui était basée sur l’acier, les fumées noires et l’espoir peut-être que la technique formerait une nouvelle monde peut-être une meilleure…
Les racines de la première révolution industrielle se trouvaient sous la terre, de milliers de mètres sous nos pieds. C’était le charbon, avec qu’on pouvait réussir de températures
énormes jamais vu avant, le charbon c’était aussi la ressource qui avait fait démarrer la révolution - charbon le roi - avec l’aide ou plutôt avec la synthèse de James Watt, qui avait construit la machine à vapeur, une machine qui pouvait transformer le charbon brûlé, ça veut dire la présure résultant de l’eau vaporisé qui figurait comme un propulsion.
En 1780 on trouvait l’Angleterre comme pays unique dans le processus de l’industrialisation mais des autres pays sont suivies un après l’autre.
Pendant cette période de l’industrialisation beaucoup de gens on fait un exode, un part est allé vers les nouveaux colonies l’autre part vers les régions qui prospéraient comme les régions industrialisés où ils pourraient trouver du travail sous conditions misérables mais encore mieux payé que la travail comme paysan. Les gens travaillaient dans des usines qui fabriquaient de vêtements, l’acier ou autres produits qu’on avait besoin d’une concentration de technique.
Aujourd’hui on distingue souvent deux ou trois révolutions industrielles, à partir de 1880 on parlait de la deuxième révolution industrielle, nouvelles transformations industrielles étaient la raison. Les nouvelles découverts comme le moteur à explosion ou les puits de pétrole donnaient à l’industrie la possibilité de produire en grande masses, donc la prix de la production baisse et aussi les prix aux consommateurs sont baissés en faveur d’eux, le pétrole et l’électricité étaient les sources principales pour cette développement immense. A partir de la deuxième révolution industrielle l’Europe était le centre de la industrialisation mais les Etats-Unis et le Japon étaient en chemin à rattraper le temps qu’ils étaient en arrière.
Plus en plus l’argent, la productivité et le facteur du travail on remplacé l’aspect de l’humanité de patron, les gens étaient qu’un facteur sur les bilan, on parle de taylorisme pour y décrire, il fallait qu’on compte notamment Ford et Krupp sous les patrons qui sont suivis cet idéologie, mais il y avait aussi des patrons qui se songeait aux travailleurs comme Renault, il voulait que les conditions sous lesquelles ils travaillaient soient agréables, il pensait que seul un travailleur content pourrait être un bien travailleur. Renault était un paternaliste.
Durant cette période l’économie ne connaît que la situation de croissance, tout le monde voulait gagner de cette occasion et investir pour y recevoir en fin un bénéfice.
Après d’années de croissance l’économie avait réussi le sommet vers les septante du 19ème siècle. Les prix et les profits baissent, beaucoup d’entreprises avaient fermées leurs portes pour la dernière fois. Cette crise économique on appelait « la grande dépression de 1873 à 1896 », les impulses venaient par des faillites bancaires faite en Allemagne et en Autriche.
La crise s’étend vers des autres pays, à la fin du siècle la situation s’améliorait et un nouveau cycle commençait, un cycle dure environ 50 ans, il y a deux phases, une hausse des prix et une baisse.
Les années suivantes sont caracterisés de stabilité et croissance, les Etats laissaient rouler leurs marchés par l’idéologie de libéralisme, ça veut dire que l’économie se régnait soi-même sans ou peut d’influence de l’Etat. La loi de l’offre et de la demande était imposée tacitement par la bourgeoisie.
Après la première guerre mondiale l’économie se reposait et commençait de nouveaux à croître. Les hommes étaient optimistes que tout va bien, la guerre était passée et on voulait produire pour exagérer un profit. Les années 20 ont préparé la crise de 1929, l’excès de crédits et l’augmentation de la spéculation ont conduit le krach boursière de Wall Street, ce jour on connaît sous le nom de Jeudi Noir. Les papiers valeurs avaient plus de valeurs, beaucoup de gens ont perdu leur existence dans une seule journée. Il en avait besoin de deux grandes crises économiques pour que les Etats sont intervenus sur le domaine comme régulateur, c’est la fin du libéralisme et le commence d’un marché controlé.
Déjà avant les grandes Révolutions Industrielles les gens étaient confrontés face aux changements plutôt sociologiques. Après le moyen âge l’homme et la société faisaient une métamorphose – il n’y avait plus dieu qui était au centre du pensé, non, dés maintenant c’était l’homme soi-même qui doit récapituler sa nouvelle situation sur la terre.
L’exploration de l’Amérique et autres continents était suivie par la colonisation de ces régions ; les colonisateurs sont devenus plus en plus puissantes, on a mis en place des bourses pour financer ces activités coûteuses, c’étaient notamment l’Angleterre, Portugal et l’Espagne qui imposaient leur volonté.
Les racines de la première révolution industrielle se trouvaient sous la terre, de milliers de mètres sous nos pieds. C’était le charbon, avec qu’on pouvait réussir de températures
énormes jamais vu avant, le charbon c’était aussi la ressource qui avait fait démarrer la révolution - charbon le roi - avec l’aide ou plutôt avec la synthèse de James Watt, qui avait construit la machine à vapeur, une machine qui pouvait transformer le charbon brûlé, ça veut dire la présure résultant de l’eau vaporisé qui figurait comme un propulsion.
Pendant cette période de l’industrialisation beaucoup de gens on fait un exode, un part est allé vers les nouveaux colonies l’autre part vers les régions qui prospéraient comme les régions industrialisés où ils pourraient trouver du travail sous conditions misérables mais encore mieux payé que la travail comme paysan. Les gens travaillaient dans des usines qui fabriquaient de vêtements, l’acier ou autres produits qu’on avait besoin d’une concentration de technique.
Aujourd’hui on distingue souvent deux ou trois révolutions industrielles, à partir de 1880 on parlait de la deuxième révolution industrielle, nouvelles transformations industrielles étaient la raison. Les nouvelles découverts comme le moteur à explosion ou les puits de pétrole donnaient à l’industrie la possibilité de produire en grande masses, donc la prix de la production baisse et aussi les prix aux consommateurs sont baissés en faveur d’eux, le pétrole et l’électricité étaient les sources principales pour cette développement immense. A partir de la deuxième révolution industrielle l’Europe était le centre de la industrialisation mais les Etats-Unis et le Japon étaient en chemin à rattraper le temps qu’ils étaient en arrière.
Plus en plus l’argent, la productivité et le facteur du travail on remplacé l’aspect de l’humanité de patron, les gens étaient qu’un facteur sur les bilan, on parle de taylorisme pour y décrire, il fallait qu’on compte notamment Ford et Krupp sous les patrons qui sont suivis cet idéologie, mais il y avait aussi des patrons qui se songeait aux travailleurs comme Renault, il voulait que les conditions sous lesquelles ils travaillaient soient agréables, il pensait que seul un travailleur content pourrait être un bien travailleur. Renault était un paternaliste.
Durant cette période l’économie ne connaît que la situation de croissance, tout le monde voulait gagner de cette occasion et investir pour y recevoir en fin un bénéfice.
Après d’années de croissance l’économie avait réussi le sommet vers les septante du 19ème siècle. Les prix et les profits baissent, beaucoup d’entreprises avaient fermées leurs portes pour la dernière fois. Cette crise économique on appelait « la grande dépression de 1873 à 1896 », les impulses venaient par des faillites bancaires faite en Allemagne et en Autriche.
La crise s’étend vers des autres pays, à la fin du siècle la situation s’améliorait et un nouveau cycle commençait, un cycle dure environ 50 ans, il y a deux phases, une hausse des prix et une baisse.
Les années suivantes sont caracterisés de stabilité et croissance, les Etats laissaient rouler leurs marchés par l’idéologie de libéralisme, ça veut dire que l’économie se régnait soi-même sans ou peut d’influence de l’Etat. La loi de l’offre et de la demande était imposée tacitement par la bourgeoisie.
Après la première guerre mondiale l’économie se reposait et commençait de nouveaux à croître. Les hommes étaient optimistes que tout va bien, la guerre était passée et on voulait produire pour exagérer un profit. Les années 20 ont préparé la crise de 1929, l’excès de crédits et l’augmentation de la spéculation ont conduit le krach boursière de Wall Street, ce jour on connaît sous le nom de Jeudi Noir. Les papiers valeurs avaient plus de valeurs, beaucoup de gens ont perdu leur existence dans une seule journée. Il en avait besoin de deux grandes crises économiques pour que les Etats sont intervenus sur le domaine comme régulateur, c’est la fin du libéralisme et le commence d’un marché controlé.
Inhalt
Kurze Zusammenfassung (auf Französisch) der industriellen Revolution, die folgenden technischen Entwicklungen und Veränderungen der Gesellschaft.
(Eigene Ideen + Arbeitsblätter)
Paragraphen (840 Wörter)
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